Quelqu’un a dit : « Si vous n’avez pour seul out­il qu’un marteau, vous aurez ten­dance à pren­dre chaque prob­lème pour un clou. » Avouons-le, la forte per­son­nal­ité de cer­taines per­son­nes les pousse à recourir au marteau alors qu’une approche plus mod­érée serait davan­tage effi­cace. Si c’est votre cas, sou­venez-vous de la règle « AMI ». 1) Atti­tude. Quand la colère aug­mente, on risque de s’emporter pour un rien. Si vous sen­tez mon­ter les déci­bels, la loi du Tal­ion n’est pas for­cé­ment appro­priée. Quand la réac­tion est pire que l’action, la sit­u­a­tion ne peut qu’empirer. Quand elle est plus mod­érée, la sit­u­a­tion s’améliore sou­vent. 2) Moment cru­cial. Si vous ne con­duisez pas vite un blessé à l’hôpital, sa vie peut être en dan­ger. De la même façon, si vous ne vous excusez pas prompte­ment quand vous faites du mal à une per­son­ne, votre rela­tion avec elle court un grand risque. Il est tout aus­si impor­tant de savoir se taire. Dorothy Nevill a dit : « L’art de la con­ver­sa­tion ne con­siste pas seule­ment à dire le bon mot là où il faut mais aus­si à garder pour soi le mau­vais quand il vous brûle les lèvres. » 3) Image glob­ale. Un homme entre dans un restau­rant et demande : « Vous avez quelque chose pour faire pass­er le hoquet ? » Le serveur le gifle en plein vis­age. « Hé, qu’est-ce qui vous arrive ? » s’écrie l’homme. Le serveur sourit : « Et alors, votre hoquet a dis­paru, non ? ». L’homme lui répond : « Ce n’est pas moi qui ai le hoquet, c’est ma femme dans la voiture ! » Vous êtes plutôt du genre à tir­er des con­clu­sions hâtives ? Restez calme et vous serez plus à même de trou­ver la bonne réaction.