"Parole du Jour me réconforte, me vivifie, m'interpelle, me remet en question. En bref, cela me fait un bien fou et ma journée se passe dans le calme, la paix et la joie." Daisy Je fais un don

Ray­mond Vath a dit : « Faisons pour les autres ce qu’ils ne peu­vent pas faire eux-mêmes, mais ne faisons pas ce qu’eux-mêmes ne feraient pas pour eux. L’en­nui, c’est qu’il faut avoir la sagesse de percevoir la nuance. » Vous pou­vez être trop sec­ourable ! En faisant pour les gens ce qu’ils sont capa­bles de faire seuls, vous sabotez leur autonomie et créez une dépen­dance mal­saine. Alors au lieu de vous pré­cip­iter et pren­dre les rênes : 1) mon­trez-leur des étapes gérables pour eux. En les aidant à pren­dre leur vie en charge, vous les armez con­tre le dés­espoir et l’im­puis­sance. Et si vous validez leurs efforts vous les aidez à recon­stru­ire leur con­fi­ance frag­ilisée. Atten­tion, si la crise vient d’une perte irréversible comme un divorce ou un décès, l’effort de vivre un jour après l’autre est déjà une vic­toire en soi. 2) don­nez-leur de l’e­spoir. Dans une crise pro­fonde, les gens ne voient pas le bout du tun­nel et pensent que la souf­france ne s’ar­rêtera jamais. Sans espoir, on ne peut pas grandir et pro­gress­er. L’e­spoir donne de l’én­ergie, et apporte le soulage­ment lié à la con­vic­tion que les choses vont s’amélior­er. Dieu promet : « Je veux vous don­ner un avenir plein d’e­spérance » (Jér 29.11, PDV). 3) assurez-vous du suivi. Les crises sont rarement vite résolues. Même si la vie sem­ble repren­dre son cours nor­mal, il y aura peut-être des rechutes dans la tristesse, le désar­roi ou la soli­tude. Vos paroles peu­vent récon­forter, mais c’est votre atten­tion per­ma­nente qui aidera la per­son­ne blessée à garder la foi et à pro­gress­er vers la guérison.

"Je ne trouve pas les mots pour vous dire ma reconnaissance de recevoir toutes les brochures de Bob Gass. MERCI ! Les méditations sont inspirées. Cela m'encourage et me parle." Annie Je fais un don