Si vous deman­dez aux par­ents ce qu’ils veu­lent pour l’avenir de leurs enfants, ils vous diront : bon­heur, assur­ance et sécu­rité. Voilà de beaux sen­ti­ments, mais pas des garanties. Qu’est-ce qui en fait de bons adultes ? Une enfance pleine de trophées et de bonnes notes ? La vie à la cam­pagne, loin de la crim­i­nal­ité cita­dine ? Des loisirs enrichissants comme les voy­ages ou la musique ? En réal­ité, rien ne per­met de présager un avenir heureux. Certes il faut encour­ager les enfants à bien étudi­er en classe. Des par­ents qui hon­orent le savoir font une dif­férence. Cepen­dant, les qual­ités essen­tielles sont intérieures. Un psy­cho­logue affirme que pour se sen­tir bien, les enfants doivent dévelop­per deux apti­tudes fon­da­men­tales. 1) Savoir sur­mon­ter l’adversité. 2) Savoir entretenir la joie. Il dit : « La vie est pleine de désil­lu­sions. Ce n’est qu’en recom­mençant sans cesse après avoir échoué qu’on tire le meilleur par­ti de ses capac­ités ». Com­ment appren­dre à ses enfants à être joyeux face à l’adversité ? En leur faisant décou­vrir la source de la joie. Ésaïe a dit : « Mon âme sera ravie d’al­lé­gresse en mon Dieu ; car il m’a revê­tu des vête­ments du salut » (Esa 61.10). David a dit : « Il y a abon­dance de joies devant ta face, des délices éter­nelles à ta droite » (Ps 16.11). Jérémie a dit : « Tes paroles ont fait l’a­gré­ment et la joie de mon cœur » (Jér 15.16). Dieu ne nous promet pas une vie exempte de prob­lèmes, mais sa Parole affirme que l’un des fruits que l’Esprit pro­duit dans votre vie est la joie (voir Ga 5.22).