"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Per­son­ne mieux que Jésus ne maîtri­sait l’art de com­pos­er avec les gens pénibles. Les Romains voulaient le réduire au silence, Hérode voulait le tuer, Pilate s’en est lavé les mains, les chefs religieux l’en­vi­aient, sa famille pen­sait qu’il était fou, son peu­ple cher­chait à le lapi­der, Thomas a douté de lui, Pierre l’a renié, Judas l’a trahi, les sol­dats l’ont bat­tu, la foule a réclamé sa cru­ci­fix­ion et ses plus proches dis­ci­ples se sont enfuis. Pour­tant, Jésus n’a jamais prié pour que Dieu lui épargne les gens pénibles. S’il l’avait fait, il serait resté seul ! Même la prière peut être util­isée à mau­vais escient dans ce domaine. Par­fois, on demande à Dieu d’ôter quelqu’un de sa vie car on ne veut pas l’affronter hon­nête­ment. Et si Dieu répondait à cette prière, on perdrait l’occasion de grandir comme il le voudrait. Les enseigne­ments de Jésus sur la ges­tion des gens pénibles sont les fruits d’ex­péri­ences intimes et douloureuses ain­si que de la sagesse. Ils ont inspiré forte­ment de grands hommes tels que Gand­hi, Mar­tin Luther King ou Nel­son Man­dela. Pierre écrit : « Si vous avez à souf­frir après avoir bien agi et que vous le sup­port­ez, c’est un bien aux yeux de Dieu. C’est à cela qu’il vous a appelés, car le Christ lui-même a souf­fert pour vous ; il vous a lais­sé un exem­ple afin que vous suiv­iez ses traces. […] Quand on l’a insulté, il n’a pas répon­du par l’in­sulte ; quand on l’a fait souf­frir, il n’a pas for­mulé de men­aces, mais il s’en est remis à Dieu qui juge avec jus­tice » (v. 20–23). À vous de suiv­re cet exemple.

"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle Je fais un don