"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don
Lorsque Pierre s’est montré partial à propos des juifs et des païens, Paul le lui a reproché ! Pourquoi ? Pour maintenir l’unité dans l’Église. Parfois nous n’avons pas d’autre choix que de confronter quelqu’un. La question est : « Comment ? » Nul d’entre nous n’en a la science infuse. C’est une compétence qui ne s’apprend qu’à force de pratique et de patience. Si nous sommes tellement mauvais à ce jeu, c’est parce que nous l’évitons comme la peste. Résultat, nos relations en souffrent et nos problèmes ne sont pas résolus. La première étape vers une confrontation consiste à déterminer la bonne raison de mettre le problème sur la table. L’objectif est d’établir une meilleure relation, qu’il faille empêcher l’autre d’agir ou l’inciter à le faire. Ne cherchez jamais à réprimander, à porter des accusations ou vous débarrasser d’un poids. Il est donc essentiel de vous confronter d’abord à vous-même. Soyez honnête sur la raison de votre initiative. Avez-vous un motif caché comme une rancune, un orgueil blessé, ou êtes-vous sincère dans votre volonté de changer les comportements ? Vous devez vous poser cette question : « À l’issue de la confrontation, quelle attitude aimerais-je voir changer chez l’autre ? » Rappelez-vous qu’une confrontation n’est efficace que si vous cherchez une solution où tout le monde est gagnant. « Un frère offensé est plus difficile à aborder qu’une forteresse » (Pr 18.19, BFC). Si la personne connaît l’intérêt que vous lui portez et se dispose à glorifier Dieu dans la situation, vous serez plus à même de trouver ce que vous cherchez.
"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don