Per­son­ne ne veut pass­er du temps avec ceux qui ne cessent de cri­ti­quer. Mieux vaut encore rester chez soi et se repass­er un vieux film ! C’est une vérité dure à enten­dre, mais les gens dont vous avez le plus besoin sont ceux qui vous fuient lorsque vous devenez trop cynique. On cri­tique par­fois par mégarde ; dans un meilleur jour, con­duit par l’Esprit de Dieu, on se serait con­cen­tré sur le posi­tif et on se serait abstenu. Notez les mots d’Aaron : « Nous avons com­plète­ment man­qué de sagesse » (No 12.11, PDV). Il n’a pas cher­ché à se jus­ti­fi­er en dis­ant : « Moïse a choisi la mau­vaise épouse » ou « Nous méri­tons plus de recon­nais­sance ». Non, il a réal­isé son erreur, s’est repen­ti, et s’est rétrac­té. Vous devez faire de même. Pourquoi ? Parce que la cri­tique fait obsta­cle aux béné­dic­tions de Dieu dans votre vie ! Oswald Cham­bers a écrit : « Chaque fois que vous êtes d’humeur à cri­ti­quer, impos­si­ble d’entrer en com­mu­nion avec Dieu ». Arrêtez et deman­dez-vous si la sat­is­fac­tion momen­tanée que vous appor­tent vos cri­tiques vaut le risque de per­dre le con­tact avec Dieu. Pour ressen­tir à nou­veau sa présence, vous devez con­fess­er et renon­cer à votre atti­tude cri­tique, pour devenir plus sen­si­ble. Aujourd’hui, priez à genoux : « Seigneur, par­donne-moi de penser que j’ai tou­jours rai­son. Je recon­nais mon arro­gance. Accorde-moi ta grâce dans mes rela­tions avec les autres, celle-là même que tu m’as si sou­vent accordée. Aide-moi à accepter nos dif­férences et ne pas exiger des autres qu’ils soient d’accord avec moi. Per­me­ts-moi de vain­cre mon atti­tude cri­tique. Au nom de Jésus. Amen ».