Votre atti­tude cri­tique ne détru­ira peut-être pas votre rela­tion avec Dieu, mais vous empêchera sans doute de vivre son amour, sa présence, et ses béné­dic­tions. Notez que Dieu lui-même a infligé la lèpre à Miri­am. En cri­ti­quant son frère, elle a fini par en pay­er le prix fort. Pourquoi ? Parce que Dieu observe la façon dont nous traitons les autres ! Vous vous deman­dez peut-être : « Pourquoi Dieu en ferait-il un si grand cas ? » Parce qu’en choi­sis­sant de péch­er, vous choi­sis­sez de souf­frir. Tout ce que Dieu classe dans les péchés vous cause du tort. Lorsque Dieu dit : « Ne le fais pas », il veut dire en réal­ité : « Ne te fais pas de mal ». Et lorsqu’il dit : « Ne cri­tique pas », il ne cherche pas à vous frus­tr­er. Il dit juste qu’une telle atti­tude va à l’encontre de celui ou celle que vous êtes supposé(e) être. Tout comme un pois­son est fait pour nag­er et un oiseau pour vol­er, vous êtes fait pour vivre une rela­tion avec Dieu, et un esprit cri­tique vous en empêche. Il ne faut pas être par­ti­c­ulière­ment religieux pour savoir que la cri­tique a des effets per­vers. Le neu­ro­logue David Fink a étudié des mil­liers de cas de trou­bles men­taux et affec­tifs. Il a tra­vail­lé avec deux groupes : des gens stressés et des gens sans stress. Une chose est ressor­tie : Le groupe des stressés était com­posé de don­neurs de leçons et de cri­tiques invétérés. À l’inverse, les mem­bres de l’autre groupe étaient aimables et tolérants. Aucun doute, la cri­tique con­stante est une habi­tude autode­struc­trice. Ne la prenez pas.