Sachez à qui vous cherchez à plaire. Jésus n’a pas cher­ché à plaire à tout le monde, alors n’est-ce pas insen­sé de vouloir faire ce que même Dieu n’a pas fait ? Avec Jésus, le prob­lème est réglé : « Je vais faire plaisir à Dieu, tout sim­ple­ment ! » Et Dieu répond : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affec­tion » (Mt 3.17). Si vous oubliez à qui vous devez chercher à plaire, vous tomberez tou­jours dans trois pièges : la cri­tique, car vous êtes haute­ment concerné(e) par ce que les autres pensent de vous ; la com­péti­tion, car vous craignez que quelqu’un vous dépasse ; le con­flit, car vous vous sen­tez menacé(e) par tous ceux qui ne sont pas d’accord avec vous. Jésus a dit : « Préoc­cu­pez-vous d’abord du Roy­aume de Dieu et de la vie juste qu’il demande, et Dieu vous accordera aus­si tout le reste » (Mt 6.33, BFC). Vous con­cen­tr­er sur la volon­té de Dieu vous sim­pli­fiera la vie ! Vous fer­ez tou­jours ce qui est juste, les choses qui lui plaisent, peu importe ce qu’en pensent les autres. Facile d’accuser les autres gens et nos oblig­a­tions : « C’est de ta faute… Je devais le faire… Je n’avais pas le choix ». En fait, à part au tra­vail, il y a peu de choses oblig­a­toires dans la vie. C’est donc en réal­ité des choix qu’on fait pour éviter les con­séquences. Il est rare qu’on nous mette le couteau sous la gorge pour quoi que ce soit, alors n’imputons notre stress à per­son­ne. C’est notre choix. Évi­tons les pres­sions émanant de deman­des extérieures et nous ne serons plus des victimes.