"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

À l’époque du Nou­veau Tes­ta­ment, il n’y avait pas de pro­tec­tion sociale. D’où les mots de l’apôtre Jacques : « La reli­gion pure et sans tache, devant Dieu le Père, con­siste à vis­iter les orphe­lins et les veuves » (Ja 1.27). C’est peut-être le min­istère pour vous ! La seule qual­i­fi­ca­tion dont vous avez besoin est le sou­venir de ce que l’on ressent à être délais­sé et la com­pas­sion pour y remédi­er. Voici une émou­vante let­tre écrite par une jeune veuve : « D’abord la stu­peur, puis la bous­cu­lade. Un mil­lion de choses à régler. Une liste inter­minable de cer­ti­fi­cats de décès et autres à sign­er. Les amis sont si prévenants, les par­ents si atten­tion­nés. Il y a tant à faire. Mais vient la nuit et de cha­grin vos poings martè­lent le côté vide du lit. Enfin vous fer­mez les yeux. Au réveil, vous jetez à la poubelle sa brosse à dent et ses vieilles chaus­sures ramenées de l’hôpital. Vous videz le plac­ard et don­nez toutes ses affaires. Vous ne pen­siez jamais devoir souf­frir autant. Chaque cos­tume sur son cin­tre vous rap­pelle un lieu ou un moment de partage à deux. Un an a passé. Vous êtes tou­jours en un seul morceau. Puis vient le coup de grâce ! Vos amis fêtent un anniver­saire, entre cou­ples. On ne vous invite pas, vous seriez la cinquième roue du car­rosse. Cer­taines femmes pour­raient même vous con­sid­ér­er comme une rivale poten­tielle. S’il vous plaît, pensez à nous. Ne nous prenez pas pour un excé­dent de bagages. Après tant d’épreuves, nous avons besoin d’amis. Signé : l’oubliée. » Ten­dez donc la main aux parias et aux exclus.

"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don