Réus­sir dans son tra­vail sup­pose : 1) L’empathie. Mon­trez que vous êtes sen­si­ble à la sit­u­a­tion, aux besoins, aux sen­ti­ments et à la façon de voir des autres. Essayez de vous met­tre à leur place, vous ren­forcerez ain­si leur moti­va­tion, amélior­erez leur envi­ron­nement de tra­vail et aug­menterez leur pro­duc­tiv­ité. « Revêtez-vous d’ar­dente com­pas­sion, de bon­té, d’hu­mil­ité, de douceur, de patience ». Vous êtes cen­sé « revêtir » ces qual­ités chaque jour. 2) La flex­i­bil­ité. C’est la capac­ité à s’adapter, s’ajuster et aller de l’avant. Dans un envi­ron­nement de crise économique et de restric­tion, les employés trop inflex­i­bles et con­tes­tataires sont sou­vent les pre­miers licen­ciés lors d’un plan social. Apprenez à sup­port­er les coups. C’est ce que Paul a fait : « J’ai appris à me con­tenter de l’é­tat où je me trou­ve. […] En tout et partout […] je puis tout par celui qui me for­ti­fie » (Ph 4.11–13). Lorsque souf­fle le vent du change­ment, les per­son­nes flex­i­bles se courbent et ne rompent pas ; elles se remet­tent debout et obti­en­nent même une pro­mo­tion. 3) L’humour. Com­mencez à regarder les autres et vous-même avec légèreté. Refusez de vous pren­dre trop au sérieux et cherchez le côté ironique caché dans les choses sérieuses de la vie. Les mis­éra­bilistes entraî­nent beau­coup de monde à leur suite. La Parole de Dieu déclare : « La bonne humeur favorise la guéri­son » (Pr 17.22, BFC) ; « Un cœur joyeux est un bon remède » (v. 22, COL). Un véri­ta­ble sens de l’humour améliore les sit­u­a­tions et rend le lieu de tra­vail plus agréable pour tout le monde.