Peu importe ce que vous vivez, essayez de prendre du recul. Sinon, vos problèmes mineurs deviendront majeurs. Ou bien vous faites le contraire, et vous minimisez la gravité de la situation. Les excès d’optimisme comme de pessimisme sont source d’ennuis. Alors faites de votre mieux pour voir les choses telles qu’elles sont réellement et ne les laissez pas trop enfler. Regardez la situation dans son ensemble au lieu de vous attarder sur le seul problème qui vous dérange. À trop y réfléchir, il apparaît plus gros qu’il ne l’est réellement. Face à la crise, ne paniquez pas et cherchez une solution. Asseyez-vous tranquillement, calmez-vous et prenez le temps de vous souvenir des belles choses. La vérité est que l’inquiétude ne disparaît jamais. Dès que vous résolvez un problème, un autre attend son tour. C’est une réalité de la vie ; vous ne pouvez rien y changer. Alors que faire ? Changer de perspective ! Au lieu de vous concentrer sur vos soucis, intégrez Dieu dans l’équation. Vous a‑t-il déjà fait faux bond ? Non, et il ne le fera jamais ! La grâce de Dieu qui vous a aidé(e) à traverser la dernière crise sera avec vous dans celle-ci et dans la suivante ! Remarquez ce que Jésus a dit à ce sujet : « Ne vous inquiétez donc pas, en disant : que mangerons-nous ? Ou : que boirons-nous ? Ou : de quoi serons-nous vêtus ? Car cela, ce sont les païens qui le recherchent. Or votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement son royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par-dessus » (v.31–33).