Le Psalmiste a écrit : « Heureux celui […], qui met son espoir en l’Éternel, son Dieu ! » (Ps 146.5). Un auteur écrit : « Quand nos fins de mois sont difficiles, les gens nous font rire avec leurs conseils budgétaires. Face au désastre, nous disons : « Sans blague ! » C’est le moment de faire confiance à Dieu. Vos possibilités ne sont pas limitées par le passé ou le présent. Si les dépenses ordinaires ne peuvent être couvertes, faites pour le mieux et laissez courir. Croyez que Dieu va subvenir à vos besoins, et regardez au-delà de votre portefeuille. Remontez à votre source. Réclamez les ressources divines illimitées. Faites votre part. Soyez responsable. Demandez la sagesse, et suivez les conseils de Dieu. Puis oubliez vos peurs et votre besoin de contrôle. Nous savons tous que l’argent est nécessaire pour vivre, et Dieu le sait aussi. » F. B. Meyer a dit : « Notre foi sera mûre lorsque nous apprendrons que la providence divine agit à travers la défaite. C’est de l’échec et des choses qui se dégradent que peut naître un ministère. Le cours d’eau qui s’assèche près d’Élie, c’est l’image de nos vies ! “Mais au bout d’un certain temps le torrent fut à sec” (1R 17.7) est l’histoire de notre passé et la prophétie de notre avenir. Faisons la différence entre croire au don et croire au donateur. Le don peut suffire un temps, mais le donateur est éternel. Si Dieu avait mené Élie directement chez la veuve à Sarepta, il aurait manqué ce qui allait l’aider à devenir meilleur : vivre par la foi. Si nos ressources tarissent, c’est peut-être que nous devons apprendre à placer notre espoir et notre survie en Dieu. »