"Parole du Jour me réconforte, me vivifie, m'interpelle, me remet en question. En bref, cela me fait un bien fou et ma journée se passe dans le calme, la paix et la joie." Daisy Je fais un don

On pré­tend que la pro­fondeur de votre blessure déter­mine l’ampleur de votre réac­tion. Il est donc prob­a­ble que lorsqu’on vous blesse, votre pre­mier réflexe est de ren­dre la pareille. Mais chaque sat­is­fac­tion que vous vivrez sera tou­jours suiv­ie d’un sen­ti­ment durable de regret. Pourquoi ? Parce que vous savez que vous oubliez Dieu en vous vengeant. Il y a deux manières de se venger : 1) « Un prêté pour un ren­du ». Avant de faire souf­frir votre agresseur, con­sid­érez avec soin ces mots : « Ne ren­dez à per­son­ne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est pos­si­ble, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez pas vous-mêmes, bien-aimés, mais lais­sez agir la colère, car il est écrit : À moi la vengeance, c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur » (Ro 12.17–19). 2) En impli­quant les autres. Vous n’avez ni le droit de riposter, ni celui de démolir votre agresseur devant témoins. Non seule­ment Joseph a refusé de punir ses frères pour leur trahi­son, mais il n’a pas voulu en révéler les détails à son entourage. Pourquoi ? Parce qu’il avait vu la main de Dieu à l’œuvre, et réal­isé que les souf­frances infligées par ses frères avaient con­tribué à faire de lui l’homme qu’il était. Pierre écrit : « Ne ren­dez pas mal pour mal, ni insulte pour insulte ; au con­traire, bénis­sez, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hérit­er la béné­dic­tion » (1P 3.9). Alors si vous voulez marcher dans la béné­dic­tion de Dieu aujourd’hui, avancez avec prudence.

Je vous remercie infiniment pour Parole du Jour. Ce livret de messages m'apporte beaucoup et m'aide énormément dans mes prières." Mélanie Je fais un don