La Bible l’appelle « une ter­reur soudaine ». Souf­fle coupé, mains moites, poitrine ser­rée, sen­sa­tion de faib­lesse, vous recon­naîtrez ces symp­tômes si jamais vous avez déjà vécu un moment de panique. Les médecins esti­ment que dans ce monde de stress, env­i­ron un tiers d’entre nous paniquons au moins une fois par an. Si vous êtes de ce nom­bre, voici quelques con­seils utiles : 1) respirez pro­fondé­ment. Cela vous aidera à vous calmer et à vous déten­dre. Si vous com­mencez à vous sen­tir dépassé(e), arrêtez-vous et pronon­cez dans un souf­fle le nom de Jésus. Essayez-le, ça marche ! 2) par­lez-vous. Dites : « Par la grâce de Dieu, je peux gér­er ça » (voir 2Co 12.9). Plus vous paniquez, plus vos ennuis aug­mentent. Acceptez la peur sans réa­gir. Ça sem­ble dif­fi­cile au début, mais ça vous aidera à bris­er l’engrenage et repren­dre le con­trôle de vos pen­sées. 3) faites quelque chose de calme. C’est sans doute la dernière chose qui vous vien­dra à l’esprit, car la panique va créer un réflexe de pen­sée qui ali­mente la peur. Alors prenez un temps pour mur­mur­er une prière, citer un ver­set, écouter un chant de louange ou par­ler à un ami. Et si votre panique per­dure, il n’y a pas de honte à chercher de l’aide auprès d’un spé­cial­iste. Après tout, c’est Dieu qui donne aux médecins les com­pé­tences et les capac­ités d’intervenir. Écrivez ces ver­sets et gardez-les sous la main : « Le soir tu te coucheras sans peur et la nuit ton som­meil sera pais­i­ble. Tu n’auras à crain­dre ni ter­reurs soudaines, ni attaques de la part des méchants. Car le Seigneur te gardera en sécu­rité » (Pr 3.24–26, BFC).