Il arrive qu’un refus signifie seulement : « Pas maintenant, mais persévère ». Ne laissez pas le rejet vous empêcher d’aller de l’avant. Ce n’est qu’une fois que l’on considère un échec définitif que l’on a réellement échoué. Vous avez connu le rejet en classe ou dans la cour de récréation. Tout le monde ne vous aimait pas. Mais vous avez survécu, n’est-ce pas ? Jésus a connu le rejet plus que n’importe qui. Il était la lumière venue chez les siens et les siens ne l’ont pas reçue. A‑t-il renoncé ? Non, il est allé vers d’autres qui ont discerné qui il était. « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, [la lumière] a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (v.12). Pour réussir, nous avons absolument besoin de ce que les autres possèdent. Tous les grands vendeurs savent que quatorze personnes sur quinze diront non. C’est pourquoi ils démarchent le plus grand nombre de gens afin de trouver celui ou celle qui achètera leur produit. Jésus a dit : « Lorsqu’on ne vous recevra pas et qu’on n’écoutera pas vos paroles, […] secouez la poussière de vos pieds » (Mt 10.14). Mettez le rejet de côté et allez de l’avant. Si vous ne renoncez pas, vous finirez par réussir. Ce n’est pas parce que quelqu’un rejette ce que vous lui proposez, qu’il vous rejette personnellement. Paul a écrit : « Une porte s’est ouverte toute grande à mon activité, et les adversaires sont nombreux » (1Co 16.9). L’opportunité et l’opposition vont souvent ensemble. Le succès ne viendra pas à vous sur un plateau d’argent. Pour l’atteindre, vous devrez surmonter l’adversité. Pour cela, vous avez besoin de deux choses : la foi et la faveur de Dieu.