Commencez à considérer votre gagne-pain comme une part importante de la volonté de Dieu pour votre vie, et vous vivrez des exaucements encore plus grands. Ses sermons et ses guérisons, Jésus les voyait comme un « travail » confié par son Père. Faites pareil. Ne voyez plus l’église comme un lieu de rendez-vous dominical avec Dieu, mais un endroit où vous êtes nourri et fortifié afin de pouvoir porter la présence de Dieu sur votre lieu de travail. « Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâces par lui à Dieu le Père » (Col 3.17). Notez ici deux termes : 1) « parole ». Elle englobe la capacité de communiquer et transmettre des informations. 2) « œuvre ». C’est la créativité et la capacité de construire. Quoi que vous fassiez, vous êtes supposé le faire avec un cœur reconnaissant, comme si le Seigneur était le patron, parce qu’il l’est. Ce genre d’attitude au travail vous fera revivre. Untel revit devant un instrument de musique, un autre en dirigeant une équipe, un autre en soulageant les douleurs d’autrui, un autre encore devant un tableur de comptabilité. Lorsque chacun de nous fait ce que Dieu nous demande, le monde qui nous entoure s’en trouve enrichi. Tous les talents viennent de Dieu. Pour pouvoir les développer, il nous invite à rester en communion avec le Saint-Esprit. Le travail est une forme d’amour. Nous ne pouvons être pleinement humains sans créer de la richesse.