Vous pou­vez douter de vos com­pé­tences, mais ne doutez jamais de celles de Dieu. Soyez sûr(e) aus­si que ce qu’il promet, il veut l’ac­com­plir. Le Psalmiste a écrit : « Tu as mag­nifié ta promesse par-delà toute renom­mée » (Ps 138.2). La seule chose que Dieu a placée au-dessus de son nom est sa Parole. Alors pensez‑y, exprimez-la chaque jour, et ne la remet­tez jamais en ques­tion. Le doute vient sou­vent de notre ten­dance à nous croire seuls aux com­man­des. L’indépen­dance est un con­cept que nous vend le monde. Il nous encour­age à ne compter que sur nous-mêmes. Mais la Bible dit : « Celui qui a con­fi­ance dans son pro­pre cœur est un insen­sé » (Pr 28.26). Selon cer­tains, le ver­set cen­tral de la Bible serait : « Mieux vaut se réfugi­er en l’Éter­nel que se con­fi­er à l’homme » (Ps 118.8). Alors cen­trez votre con­fi­ance sur Dieu, pas sur vous ou aucun autre. Doutez-vous de votre valeur ? De vos com­pé­tences pro­fes­sion­nelles ? De vos capac­ités à créer de saines rela­tions ? Mal­gré presque trois ans à vivre au con­tact de Jésus à enten­dre ses promess­es de résur­rec­tion, Thomas dis­ait encore : « Tant que je n’au­rai pas vu et touché ses plaies, je ne croirai pas » (voir Jn 20.25). Jésus a‑t-il renié Thomas parce qu’il était scep­tique ? Non, il n’a jamais rejeté le doute sincère ! Jésus est apparu en per­son­ne pour lever toutes les inter­ro­ga­tions de Thomas. Tan­dis que vous lisez ces mots et cherchez sa face, il va de même effac­er vos incer­ti­tudes. Si vous cessez de marcher « par la vue » et apprenez à marcher « par la foi » (voir 2Co 5.7), vos doutes vont disparaître.