Un pas­teur écrit : « J’aurais pu pass­er une cen­taine d’examens dans ma jeunesse et ne jamais décou­vrir que j’avais le don d’enseigner, parce que je ne l’avais jamais fait. Ce n’est qu’après avoir com­mencé à saisir les occa­sions de par­ler que j’ai vu les résul­tats, reçu la con­fir­ma­tion des autres, et réal­isé que Dieu m’avait don­né ce tal­ent. » Jusqu’à ce que vous soyez prêt(e) à pren­dre le risque de vous inve­stir, vous ne saurez jamais de quoi vous êtes capa­ble. Vous fer­ez sûre­ment des erreurs, et cer­taines d’entre elles vont sans doute telle­ment vous décourager que vous serez tenté(e) d’abandonner et de ne plus recom­mencer. Toute­fois, si vous en faites une expéri­ence prof­itable, non seule­ment vous décou­vrirez ce que Dieu vous a appelé(e) à faire, mais vous grandi­rez aus­si en com­pé­tence. Paul écrit : « Que cha­cun exam­ine son œuvre pro­pre, et alors il trou­vera en lui seul, et non dans les autres, le sujet de se glo­ri­fi­er, car cha­cun portera sa pro­pre charge » (v.4–5). Puis il ajoute : « Ne nous las­sons pas de faire le bien ; car nous moisson­nerons au temps con­ven­able, si nous ne nous relâ­chons pas. Ain­si donc, pen­dant que nous en avons l’oc­ca­sion, pra­tiquons le bien envers tous » (v.9–10). Aujourd’hui, regardez avec soin ce que vous avez nég­ligé dans votre vie et décidez de le faire fruc­ti­fi­er. Voici l’une des plus tristes épi­taphes qu’on ait pu lire sur une pierre tombale : « À l’instant de mourir, j’ai décou­vert que je n’avais pas vécu. » Ne per­me­t­tez pas qu’on dise cela de vous !