Le pire de l’ig­no­rance est le manque de curiosité. À bien y regarder, la vie est une école où chaque nou­velle ren­con­tre est un enseignant poten­tiel. Alors sai­sis­sez toutes les occa­sions d’ap­pren­dre. Prenez juste la pré­cau­tion de choisir les bons pro­fesseurs : les per­son­nes qui ont gag­né le droit d’être à vos côtés, celles qui posent les ques­tions déli­cates quand il le faut, ouvrent des per­spec­tives, et vous main­ti­en­nent sur les rails. Salomon a dit : « Des pommes d’or sur des ciselures d’ar­gent, telle est une parole dite à pro­pos. Un anneau d’or et une parure d’or fin, tel est, pour une oreille atten­tive, le sage qui rép­ri­mande » (Pr 25.11–12). Quand Dieu vous envoie de l’aide : 1) mon­trez-vous reconnaissant(e). Ne prenez jamais cette aide pour acquise et n’ou­bliez jamais de dire mer­ci. Si vous pensez : « Je n’ai rien demandé donc je n’ai rien à dire », cette atti­tude vous nuira et des portes se fer­meront plus tard. 2) faites votre part. Ne soyez pas intéressé(e) et oppor­tuniste. Cherchez à devenir un atout et non un hand­i­cap. La vie ne vous doit rien de plus qu’une occa­sion de grandir. 3) sachez où sont les lim­ites. Ne soyez pas familier(e) avec les per­son­nes que vous con­nais­sez peu. Même si leurs proches les tutoient, ne les imitez pas. Mon­trez du respect, et ne cherchez pas à chang­er les usages en suiv­ant ceux de votre envi­ron­nement habituel. Ne fran­chissez pas les lim­ites, respectez les autres, soyez à l’é­coute, et vous aurez tou­jours des gens prêts à vous aider selon vos besoins.