David a dit : «  Je con­fesserai mes trans­gres­sions à l’Éter­nel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché ». Julie Ann Barn­hill rajoute : « Si vous êtes fatiguée de pré­ten­dre que tout est de votre faute, c’est le moment d’a­gir. Pen­dant trop longtemps les femmes chré­ti­ennes en par­ti­c­uli­er ont cru être les seules à con­naître la honte, les regrets insouten­ables, et les squelettes dans leur plac­ard. Dès qu’on s’ou­vre à Dieu, à soi-même et aux autres, on ressent une lib­erté et une paix exal­tantes. Une femme m’a écrit : “J’ai subi un avorte­ment à 18 ans. Per­son­ne ne l’a su. Pen­dant des années, j’ai noté la date sur mon cal­en­dri­er pour pleur­er l’en­fant incon­nu de tous, et la jeune femme qui avait endossé seule la cul­pa­bil­ité. Plus jamais ! Main­tenant je sais que je ne suis plus seule. Pour la pre­mière fois de ma vie je crois vrai­ment que Dieu est plus grand que mon secret et qu’il est prêt à par­don­ner.” Les secrets ne sont puis­sants que s’ils restent cachés. Une fois révélés à la lumière de l’amour de Dieu ils per­dent de leur influ­ence. Cepen­dant, avant de vous ouvrir à l’autre, soyez vigilant(e). 1) Si cette per­son­ne répète les con­fi­dences d’une autre, devinez qui fera l’ob­jet de la prochaine dis­cus­sion ? 2) Méfiez-vous des gens qui don­nent un avis non sol­lic­ité et qui se vex­ent quand per­son­ne n’en tient compte. 3) Évitez celles et ceux qui cherchent à vous embobin­er, et qui vous dis­ent de ne pas vous inquiéter pour vos secrets. Cherchez plutôt quelqu’un qui a du bon sens, qui sait gér­er votre humeur, exprimer avec fran­chise ses pro­pres com­bats, prompt(e) à écouter et lent(e) à par­ler, et qui base ses pro­pos et ses con­seils sur la Parole de Dieu. »