Le mot « voca­tion » vient du latin « vocare », qui sig­ni­fie « appel de l’e­sprit ». Toute voca­tion, quelle qu’elle soit, est un appel de Dieu. Le jour où vous com­mencerez à voir votre pro­fes­sion sous cet angle, vous trou­verez plus facile de croire que Dieu veut vous bénir au tra­vail. Sachant cela, vous devez : 1) trou­ver un tra­vail com­pat­i­ble avec vos tal­ents. « Si quelqu’un sert, que ce soit par la force que Dieu lui accorde, afin qu’en toutes choses Dieu soit glo­ri­fié» (1P 4.11). 2) en appren­dre le plus pos­si­ble sur votre emploi. « Que le sage écoute, et il aug­mentera son savoir » (Pr 1.5). 3) recon­naître que Dieu est votre vrai patron. « Servez-les de bon gré comme si vous serviez le Seigneur et non les hommes, sachant que cha­cun, esclave ou libre, recueillera du Seigneur selon le bien qu’il aura fait » (Ep 6.7–8). 4) voir le tra­vail comme un don de Dieu, non comme une puni­tion. « Lorsque Dieu donne à quelqu’un d’être riche et de jouir de sa for­tune, il peut prof­iter de la part qui lui revient, du pro­duit de son tra­vail. C’est là un don de Dieu » (Ec 5.18, BFC). 5) retourn­er les cri­tiques à votre avan­tage. Lais­sez-les tra­vailler pour vous. Soyez friands de sug­ges­tions et de cor­rec­tions. « Celui qui refuse d’être éduqué sera pau­vre et méprisé, mais qui tient compte des cri­tiques sera hon­oré » (Pr 13.18, BFC). 6) faire du zèle. « Si quelqu’un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui » (Mt 5.41). 7) voir le Seigneur comme votre asso­cié. Ayez con­science de la présence du Christ dans toutes vos tâch­es quo­ti­di­ennes, et Dieu « fera prospér­er tout ce que vous entreprendrez ».