Matthieu racon­te : « Pierre sor­tit de la bar­que et mar­cha sur les eaux pour aller vers Jésus ». Aujourd’hui, posez-vous ces trois ques­tions : 1) où est ma bar­que ? Partout où vous vous sen­tez le plus en sécu­rité. C’est là où vous vous réfugiez quand le temps devient orageux. Pour savoir quelle est votre bar­que, deman­dez-vous : « De quoi ai-je le plus peur, surtout quand je pense à l’a­ban­don­ner et à en sor­tir avec foi ? » 2) qu’est-ce qui m’empêche de sor­tir de ma bar­que ? La crainte. On a peur des gens, de l’échec, des cri­tiques, du manque. Pour grandir, vous devez explor­er de nou­veaux hori­zons, et chaque fois que vous le fer­ez, vous aurez peur. La peur ne s’efface jamais. Mais au fur et à mesure que vous sortez de votre bar­que, ça devient de plus en plus facile, et vous com­mencez à réalis­er que la peur n’a pas le pou­voir de vous détru­ire. Si Jésus vous dit de faire le pre­mier pas, il ne vous lais­sera pas som­br­er. 3) que vais-je man­quer en restant dans ma bar­que ? Votre des­tinée. Pour achev­er ce qu’il vous reste à faire, vous devez essay­er ce que vous n’avez pas encore ten­té. Est-ce risqué ? Certes, même les plus grands buteurs au foot­ball ratent deux occa­sions sur trois. Mais ils savent qu’il faut ten­ter pour réus­sir. Qui ne risque rien n’a rien. Com­prenez ceci : si vous restez dans votre bar­que, vous finirez par y mourir et vous deman­der ce que votre vie aurait pu être si seule­ment vous aviez voulu en sortir.