Un jour, les com­merçants d’une petite ville invi­tent un homme d’affaires prospère. L’économie locale se porte mal, les gens sont démoral­isés. Sa mis­sion est donc de les motiv­er. Devant eux, il prend une grande feuille blanche et trace un point rouge au cen­tre. Il demande : « Que voyez-vous ? » L’un affirme : « Je vois un point rouge. » L’orateur répond : « Bien, mais que voyez-vous encore ? » Un autre dit : « Un point rouge. » L’intervenant insiste : « Ne voyez-vous rien en-dehors du point ? » Tous répon­dent « non ». Alors, il con­clut : « Vous avez oublié la feuille de papi­er ! » Et là il leur explique que dans la vie, on est sou­vent préoc­cupé par des échecs de la taille d’un point qui nous empêchent de voir des occa­sions et des réus­sites bien plus impor­tantes que les décep­tions qui monop­o­lisent notre atten­tion et nous vident de notre énergie. Paul a écrit : « Une porte s’est ouverte toute grande à mon activ­ité, et les adver­saires sont nom­breux ». Occa­sions et obsta­cles vont de pair comme les spaghet­tis et la sauce tomate, ou le steak et les frites. Paul ne nie pas la réal­ité de l’opposition à laque­lle il doit faire face. Mais il se focalise sur l’opportunité qu’elle lui offre. Un poète écrit : « Deux hommes regar­dent par la fenêtre d’une prison. L’un voit des bar­reaux, l’autre des étoiles. » Que regardez-vous ? Êtes-vous si préoccupé(e) par la réal­ité présente que vous avez per­du de vue ce qui pour­rait être ? Dans ce cas, il vous faut pren­dre du recul et deman­der à Dieu de vous aider à élargir votre champ de vision.