Faites atten­tion aux gens qui se déval­orisent eux-mêmes, ils sont inca­pables de val­oris­er les autres. Évitez ceux qui vous inhibent et cherchez plutôt ceux qui vous aident à pro­gress­er, vous enrichissent et for­ti­fient votre foi. Par leur entrem­ise, vous décou­vrez vos qual­ités, et leurs paroles vous encour­a­gent. Lorsque vous ren­con­trez quelqu’un qui vous dit que vous n’avez rien à offrir, prenez-le en souri­ant et n’y prêtez pas trop atten­tion. Lorsque Dieu vous a créé, il vous a regardé et a dit : « C’est très bon ! » (Ge 1.31). Cessez donc de penser le con­traire, car vous avez de telles capac­ités que le mot « pos­si­bil­ité » est celui qui vous décrit le mieux ! Et, par la grâce de Dieu, vous pou­vez réalis­er ses désirs. « Il a voulu lui-même nous don­ner la vie par sa Parole, qui est la vérité, afin que nous soyons au pre­mier rang de toutes ses créa­tures ». Vous dites : « J’ai telle­ment de regrets ! » Si vous vous êtes repen­ti et avez appris de vos erreurs, regardez de l’avant ! L’amour de Dieu ne repose pas sur vos exploits, de même qu’il ne vous a pas choisi pour vos mérites : « Lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous » (Ro 5.8). Il est le Dieu de la deux­ième chance et même la troisième ! Paul a écrit : « Je suis cer­tain de ceci : Dieu, qui a com­mencé cette œuvre bonne par­mi vous, la con­tin­uera jusqu’à son achève­ment » (Ph 1.6, BFC). Le Dieu qui vous a amené aus­si loin vous con­duira à bon port. Soyez con­va­in­cu de son engage­ment à vos côtés ; mais assurez-vous d’être engagé envers lui !