Faire la bonne chose au bon moment est la clé de la réus­site. Try­on Edwards a dit : « Ayez un temps et un lieu pour chaque chose, et faites chaque chose au bon moment au bon endroit. Non seule­ment vous accom­plirez davan­tage, mais aurez bien plus de loisirs que ceux qui sont tou­jours pressés. » Si vous êtes fatigué(e) de vivre en per­ma­nence dans le stress, Howard Hen­dricks pointe qua­tre sources majeures : 1) accepter trop de choses. Lewis Sper­ry Chafer affirme : « Une grande part de notre activ­ité spir­ituelle est un peu plus qu’un sim­ple anesthésiant pour atténuer la douleur d’une vie sans but. » Aucune de nos « ges­tic­u­la­tions » n’ar­rive à combler notre vide intérieur. 2) ne pas s’ar­rêter pour recharg­er ses bat­ter­ies. Nous rem­plis­sons scrupuleuse­ment les blancs de notre agen­da. Mais ne nous leur­rons pas, éviter que nos activ­ités se recoupent n’est pas suff­isant. Résul­tat, nous sommes stressés, irri­ta­bles, à pass­er d’une chose à l’autre, ce qui n’a­joute pas grand-chose à notre bien-être spir­ituel. 3) oubli­er d’ap­préci­er le tra­vail accom­pli. « Un désir réal­isé est doux à l’âme » (Pr 13.19). À tou­jours vouloir trop en faire, on passe d’une oblig­a­tion à l’autre, sou­vent sans finir la précé­dente ou pren­dre le temps de savour­er un tra­vail bien fait. Rien d’é­ton­nant à ce que l’on s’in­quiète d’une vie vide de sens. 4) se cribler de dettes. La prochaine fois, face à un achat à crédit, atten­dez ! Ne le refusez pas for­cé­ment mais mon­trez sim­ple­ment ce soi-dis­ant « besoin » à Dieu et voyez ce qu’il en pense. Si vous voulez vrai­ment dévelop­per votre vie spir­ituelle, soyez raisonnable et tenez compte de ces qua­tre points.