Aujour­d’hui, cer­tains ten­tent de sup­primer de Noël toute référence publique à Christ, alors que d’autres sem­blent vouloir la laï­cis­er com­plète­ment. Alors voyons ce que sig­ni­fient cer­tains des sym­bol­es de Noël. On pense que les petites baies de houx rap­pel­lent aux chré­tiens les gouttes de sang de Christ causées par la couronne d’épines qu’il por­tait au Cal­vaire. Les arbres à feuilles per­sis­tantes par­lent de la promesse d’une vie éter­nelle par sa résur­rec­tion. La croix cel­tique a un cer­cle entourant l’in­ter­sec­tion de ses axes. Cer­tains pensent que St. Patrick, après avoir vu un rond représen­tant la déesse de la lune, a tracé une croix chré­ti­enne par dessus, trans­for­mant un sym­bole druidique en logo du chris­tian­isme irlandais. Tout comme Saint-Patrick a pris un cer­cle païen et lui a don­né un nou­veau sens, d’autres chré­tiens ont adop­té la couronne de sapin pour en chang­er la sym­bol­ique. Quand les pre­miers chré­tiens ont déplacé le sol­stice d’hiv­er romain du 21 au 25 décem­bre pour célébr­er la nais­sance du « Fils de l’Homme », la couronne à feuilles per­sis­tantes a été adop­tée. Au lieu d’être sim­ple­ment une guir­lande, la couronne de Noël ronde par­le main­tenant de l’u­nité et de la fra­ter­nité sans fin que nous entretenons avec Dieu par le Christ. En accrochant une guir­lande à la porte ou au-dessus de la chem­inée ce Noël, sou­venons-nous que rien « ne pour­ra nous sépar­er de l’amour de Dieu en Christ-Jésus notre Seigneur » (Ro 8.39).