Cer­tains de nos com­bats les plus rudes sont menés con­tre Dieu. C’est parce qu’il y a en cha­cun de nous un « Jacob » qui som­meille et résiste à sa volon­té. Il faut s’y faire ! Le même Dieu qui demande son nom à Jacob nous demande de nous iden­ti­fi­er, nous aus­si. Si nous refu­sons de faire une éval­u­a­tion hon­nête et de répon­dre sincère­ment, notre vie ne peut pas s’améliorer. Pour bris­er Jacob, Dieu a dû démet­tre sa hanche. Jacob a été béni au moment-même où il a com­mencé à boîter. Deman­dez-vous : « Est-ce que je désire vrai­ment la béné­dic­tion de Dieu ? ». Avant de répon­dre, arrêtez-vous à ces ques­tions. 1) Suis-je prêt(e) à renon­cer à ce que je désire si ce n’est pas la volon­té de Dieu ? 2) Est-ce que je con­voite ce qu’ont les autres au lieu d’attendre ce que Dieu me réserve ? 3) Est-ce que je con­tin­ue à faire val­oir mes droits, tout cela parce que je ne suis pas entière­ment soumis(e) à Dieu ? 4) Est-ce que j’aime vrai­ment les autres et pense d’abord à eux ? 5) Est-ce que je prie et pra­tique chaque jour la lec­ture de la Bible ? 6) Est-ce que je per­me­ts à Dieu de s’occuper de mes rela­tions sociales au lieu de faire mon auto­pro­mo­tion ? 7) Est-ce que je suis dans la joie au milieu de l’adversité et fais con­fi­ance à Dieu pour qu’il repro­duise le car­ac­tère de Jésus en moi ? 8) Est-ce que je prends le risque d’obéir au Christ au lieu d’avoir peur et jouer la sécu­rité ? Non seule­ment vos répons­es à ces ques­tions révè­lent votre vie de dis­ci­ple, votre cap et votre avenir, mais elles déter­mi­nent aus­si votre degré de bénédiction.