"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Les gens qui pos­sè­dent une foi solide peu­vent vous com­plex­er si vous vous com­parez à eux. Un enseignant de la Bible écrit : « J’ad­mi­rais ces héros de la foi dont les témoignages édi­fi­ants se répandaient comme une traînée de poudre. Ils sem­blaient si sûrs d’eux, si équili­brés. Je pen­sais que l’amour de Dieu était dis­tribué au mérite. Le jour où je fai­sais le bien, il m’aimait. Si j’é­chouais il ne m’aimait pas. Quelles mon­tagnes russ­es ! Je n’avais pas réal­isé que tout ce qui naît a besoin de temps pour grandir et mûrir. J’e­spérais une méta­mor­phose totale, puis­sante et instan­ta­née qui m’au­rait ren­du de suite par­fait. » Ressen­tez-vous cela, comme si quelque chose clochait en vous qui vous empêchait tou­jours de vous sen­tir à la hau­teur ? Dans ce cas, lisez ceci : « Lorsque j’é­tais enfant, […] je raison­nais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai aboli ce qui était de l’en­fant ». Vous êtes d’abord un bébé spir­ituel, puis vous devenez un enfant, ensuite un ado­les­cent, et finale­ment un adulte spir­ituel. Mais vous n’êtes jamais au bout. Une ver­tu de façade vous poussera juste à vouloir impres­sion­ner les autres avec une fausse apparence de sain­teté. Elle vous empêchera d’être hon­nête devant Dieu et vous fera penser que vous êtes bien plus spir­ituel pour votre âge. Vous sou­venez-vous de votre enfance quand vous met­tiez les chaus­sures à talons de maman ou les bottes de papa ? Mal­gré tous vos efforts, elles ne vous allaient pas. Ce n’é­tait pas parce que quelque chose clochait en vous ; c’é­tait sim­ple­ment parce que vos pieds avaient la bonne taille pour votre âge.

"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don