"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Que répon­dre à ceux qui pensent qu’à trop par­ler de la grâce de Dieu, on délivre aux gens un per­mis de péch­er ? Lisez ce ver­set : « Demeure­ri­ons-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Certes non ! Nous qui sommes morts au péché, com­ment vivri­ons-nous encore dans le péché ? » (v.1–2). Notez l’expression « mort au péché ». Si vous nour­ris­sez votre nou­velle nature et affamez l’ancienne, cette dernière va mourir peu à peu. Vous aurez moins envie de vous plaire à vous-même et plus envie de plaire à Dieu. Paul a écrit: « Car l’amour du Christ nous étreint » (2Co 5.14). Paul n’était pas tenail­lé par la peur de per­dre son salut, mais par la néces­sité de répon­dre à la grâce de Dieu qu’il avait expéri­men­tée. Il a écrit : « le monde est cru­ci­fié pour moi, comme je le suis pour le monde » (Ga 6.14). En grec, « monde » se dit « kos­mos » ou « ordre ». Avec la révéla­tion de la grâce de Dieu, Paul n’in­téres­sait plus l’or­dre mon­di­al, et Paul le lui rendait bien. Bien com­prise, la grâce de Dieu n’empêche pas la piété, mais la ren­force. « La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été man­i­festée. Elle nous enseigne à renon­cer à l’impiété, aux désirs de ce monde, et à vivre dans le siè­cle présent d’une manière sen­sée, juste et pieuse, en atten­dant la bien­heureuse espérance et la man­i­fes­ta­tion de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-Jésus. Il s’est don­né lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniq­ui­té, et de se faire un peu­ple qui lui appar­ti­enne, puri­fié par lui et zélé pour les œuvres bonnes » (Tit 2.11–14).

"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don