Pour chang­er vos échecs en suc­cès, vous avez deux choses à faire : 1) Réalis­er que Dieu veut votre réus­site car vous êtes son enfant. Quel par­ent ne le voudrait pas ? Face aux obsta­cles et men­aces enne­mies, Néhémie a proclamé : « Le Dieu des cieux nous don­nera le suc­cès », et Dieu l’a fait ! 2) Com­pren­dre que l’échec est for­ma­teur. Plus l’échec est grand, plus on peut en tir­er des leçons. Mais vous devez tir­er par­ti de vos erreurs et vous engager à appren­dre d’elles, à grandir et à chang­er. Thomas Edi­son a dit : « Je ne suis pas découragé, car tout nou­v­el échec con­stitue un pas de plus vers la vic­toire ». À 21 ans, il ouvre un lab­o­ra­toire à Men­lo Park dans le New Jer­sey, et devient inven­teur à plein temps. Il n’était pas rare que lui et son équipe tra­vail­lent sur près de 40 pro­jets dif­férents et déposent plus de 400 brevets par an. Le tra­vail acharné d’Edi­son lui a valu le surnom de « magi­cien de Men­lo Park ». Mais il ne réus­sis­sait pas tou­jours. En fait, nom­bre de ses inven­tions lui ont posé prob­lème mais en dépit d’échecs répétés, il n’a jamais aban­don­né. Sou­vent moqué pour son obsti­na­tion, il a engagé près de dix mille essais avant d’inventer la lampe à incan­des­cence en 1879. De son par­cours, il a dit : « Je n’ai pas échoué. J’ai décou­vert dix mille pistes qui ne menaient à rien ». Arrêtez de plac­er une éti­quette néga­tive sur vos échecs. Il y a peu de vrais échecs dans la vie, seule­ment des pos­si­bil­ités. Cer­taines fonc­tion­nent, d’autres non. Avec Dieu à vos côtés, vous gag­nerez en persévérant !