"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Les pas­teurs se cachent par­fois der­rière leur emploi du temps chargé pour éviter de dire « non » aux gens. Jésus savait quand s’im­pli­quer ou non. Suiv­ez son exem­ple. Vous ne serez jamais effi­cace si vous vous sen­tez obligé de répon­dre en per­ma­nence à tous les besoins. Et Dieu ne vous le demande pas. Il veut seule­ment que vous répondiez à ce qu’il place sur votre route. Un pas­teur dit : « Je n’ou­blierai jamais la tête de ma con­seil­lère d’ori­en­ta­tion quand je lui ai appris mon inten­tion de devenir pas­teur. Elle s’est exclamée : “Mais vous n’aimez même pas les gens !” Je me sou­viens d’avoir pen­sé : “Et alors ? Il s’ag­it de prêch­er et d’élever une com­mu­nauté. Je n’ai pas à me souci­er des indi­vidus.” Rien n’est plus faux. Gar­dons-nous d’être occupé au point de fuir la prochaine per­son­ne que Dieu met sur notre chemin. Je suis stupé­fait de voir la lour­deur de cer­taines admin­is­tra­tions inca­pables de sou­p­lesse dans leur ges­tion des prob­lèmes indi­vidu­els. Les besoins de cha­cun sont trop impor­tants pour se soumet­tre à la rigid­ité d’un quel­conque pro­gramme. Cer­tains pensent qu’à trop s’en occu­per, les besoins indi­vidu­els n’en finis­sent jamais de se mul­ti­pli­er. Et puis, il existe bien des moyens d’éviter le sur­me­nage, non ? Erreur ! Le “mythe du min­istère” qui dit : “Ce que tu fais pour un, fais-le pour tous” est la recette pour le sur­me­nage ». Jésus a con­sacré beau­coup de temps aux besoins indi­vidu­els. Il a dit : « Le bon berg­er donne sa vie pour ses bre­bis ». Mais pour ce faire, vous devez garder de la place pour l’imprévu.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don