"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

La Bible dit sou­vent qu’il ne con­vient ni de cri­ti­quer ni de juger. Mais le silence n’est pas tou­jours « d’or », il peut être mor­tel. Par exem­ple : 1) Le silence est mor­tel quand vous l’u­tilisez comme un moyen d’exprimer votre colère ou mécon­tente­ment de façon pas­sive. On appelle ça de la « manip­u­la­tion émo­tion­nelle ». Jésus a dit : « Si ton frère se rend coupable à ton égard, va le trou­ver seul à seul et mon­tre-lui sa faute. S’il t’é­coute, tu auras gag­né ton frère » (Mt 18.15, BFC). Jésus nous invite à pren­dre les devants et à nous exprimer pour régler l’offense. Tant de fois on se sent attaqué ou offen­sé. Mais au lieu d’en par­ler directe­ment avec l’agresseur, on se résout au mutisme et à la boud­erie. Jésus dit : « Ne faites pas cela ! » Si vous ne par­lez pas, le fau­tif ne se ren­dra peut-être pas compte de son offense et pour­rait la répéter. 2) Le silence est mor­tel lorsque vous omet­tez de défendre quelqu’un con­tre des cri­tiques injustes ou des rumeurs infondées. Ne lais­sez jamais la médi­s­ance impunie par peur du rejet, en par­ti­c­uli­er lorsque vous con­nais­sez les faits. 3) Le silence est mor­tel quand il vous con­duit à pren­dre une déci­sion qui vous déplaît. Le proverbe est vrai : « Qui ne dit mot con­sent ». On a sup­primé les prières dans les écoles publiques aux États-Unis parce que la majorité restait silen­cieuse au lieu de s’exprimer. La Bible dit : « Il y a […], un temps pour se taire et un temps pour par­ler » (Ec 3.1, 7). Ayez donc le courage de vos opin­ions et exprimez-vous !

"Pour moi c'est un régal de méditer chaque jour Parole du Jour. Je vis la Parole et je l'expérimente. Je veux vraiment vous féliciter pour votre travail qui porte du fruit." Joséphine Je fais un don