Deux sagas familiales

Leurs his­toires, sur plus d’un siè­cle, sont très instruc­tives. 1) La famille Edwards. Le père de John, célèbre réfor­ma­teur et pas­teur de Nou­velle-Angleterre, était un homme d’église. Sa mère comp­tait un min­istre par­mi ses ancêtres. On trou­ve dans cette famille : 14 prési­dents d’u­ni­ver­sité et plus de 100 pro­fesseurs, une cen­taine d’avocats, 30 juges, 60 médecins, plus de 100 pas­teurs, mis­sion­naires et théolo­giens, et une soix­an­taine d’auteurs. Presque toutes les grandes entre­pris­es améri­caines de l’époque comp­taient un Edwards par­mi leurs dirigeants. Voilà le résul­tat d’une édu­ca­tion dis­pen­sée dans les meilleures con­di­tions. 2) La famille Jukes. Les mem­bres de cette famille n’avaient pas accès aux études, ni au marché du tra­vail. Ils préféraient vivre aux cro­chets de la société. Ils ont coûté des mil­lions de dol­lars à l’É­tat de New York. Dans leur dossier, on ne lit que pau­vreté, crimes et mal­adie men­tale. Par­mi leurs descen­dants, 310 vivent dans une grande mis­ère, 440 sont de vraies épaves, 60 des cam­bri­oleurs paten­tés, 133 des crim­inels con­damnés et 55 vic­times de sévices. Seuls 20 d’entre eux ont vrai­ment appris un méti­er, dont 10 l’ont fait en prison. Cette ter­ri­ble famille compte aus­si 7 meur­tri­ers dans ses rangs. Oui, un homme qui tourne mal peut empoi­son­ner tout son entourage. Mais s’il est élevé dans la piété, il peut bénir toute sa famille et influ­encer le monde pour les généra­tions à venir. En résumé : si vous êtes un par­ent avisé, vous chercherez les con­seils de Dieu chaque jour de votre vie.