À l’aube de cette nou­velle année, lisez et méditez ces ver­sets : « Le pays où tu vas entr­er pour en pren­dre pos­ses­sion n’est pas comme le pays d’É­gypte, d’où vous êtes sor­tis […]. [C’est] un pays de mon­tagnes et de val­lées, et qui boit les eaux de la pluie du ciel ; c’est un pays dont l’Éter­nel, ton Dieu, prend soin et sur lequel l’Éter­nel, ton Dieu, a con­tin­uelle­ment les yeux, du com­mence­ment à la fin de l’an­née » (v.10–12). Pour les quelques jours à venir, analysons ces ver­sets. « Le pays où tu vas entr­er pour en pren­dre pos­ses­sion n’est pas comme le pays d’É­gypte, d’où vous êtes sor­tis ». L’É­gypte, c’était le cha­grin et les com­bats. Mais Canaan, c’est la réus­site, l’es­time de soi et la crois­sance spir­ituelle don­nées par Dieu. En d’autres ter­mes, cette année n’a pas à être comme l’année dernière pour vous. Car « l’Éter­nel, ton Dieu, [en] prend soin ». Jérémie a dit : « Mais voici ce que je veux me rap­pel­er, voici ma rai­son d’e­spér­er : les bon­tés du Seigneur ne sont pas épuisées, il n’est pas au bout de son amour. Sa bon­té se renou­velle chaque matin. Que ta fidél­ité est grande, Seigneur ! Je le dis : le Seigneur est mon tré­sor, voilà pourquoi j’e­spère en lui. Le Seigneur est bon pour qui compte sur lui, pour qui se tourne vers lui » (La 3.21–25, BFC). David a dit : « Sa colère dure un instant, mais sa faveur toute la vie ; le soir arrivent les pleurs, et le matin la jubi­la­tion » (Ps 30.6). Ne craignez pas ce qui vous attend. Cette année, vous con­naîtrez l’amour, la mis­éri­corde, la fidél­ité, la bon­té et la faveur de Dieu.