Un mot pour le Nouvel An (4)

Cette année, Dieu pren­dra soin de vous. Tel un bon père qui prend soin de son enfant chéri, Dieu va vous sur­veiller et ne jamais vous quit­ter des yeux. Et il le fera « du com­mence­ment à la fin de l’an­née ». Qui peut faire une telle promesse, et surtout la garder ? En temps nor­mal, votre notaire, votre ban­quier ou votre assureur sont disponibles pour vous du lun­di au ven­dre­di, sauf bien sûr s’ils sont trop occupés, et dans ce cas vous restez la journée pendu(e) au télé­phone à par­ler à des répon­deurs. Si vous tombez malade, à moins que vous ne soyez dans un état cri­tique, vous risquez de vous retrou­ver sur la liste d’attente d’un spé­cial­iste ou d’être en con­flit avec votre mutuelle. Avec Dieu c’est dif­férent ! Il vous garan­tit une pro­tec­tion et un soin per­ma­nents, vingt-qua­tre heures sur vingt-qua­tre, sept jours sur sept. Mais vous avez égale­ment votre rôle à jouer : « Si vous obéis­sez à mes com­man­de­ments que je vous donne aujour­d’hui, pour aimer l’Éter­nel, votre Dieu, et pour lui ren­dre un culte de tout votre cœur et de toute votre âme, je don­nerai à votre pays la pluie en son temps, celle de l’au­tomne et celle du print­emps, et tu recueilleras ton blé, ton vin nou­veau et ton huile ; je met­trai aus­si dans ton champ de l’herbe pour ton bétail ; tu mangeras et te ras­sas­ieras » (v.13–15). En résumé : si vous marchez avec Dieu et l’honorez dans tous vos actes, cette année pour­rait être la plus pro­lifique en béné­dic­tion jamais vécue.