Un auteur iro­nise : « Le tal­ent sans la rigueur, c’est comme un poulpe sur patins à roulettes. Il ges­tic­ule, mais on ne sait jamais s’il avance ou s’il recule. » Si avec votre tal­ent vous ges­tic­ulez beau­coup pour peu de résul­tats, vous devez man­quer d’autodiscipline. Qu’avez-vous fait la semaine dernière ? Com­bi­en de temps avez-vous con­sacré à des activ­ités régulières ? Avez-vous cher­ché à vous amélior­er ? Si vous avez remis trop de choses à plus tard, soyez plus rigoureux. Une pépinière cana­di­enne affiche ce slo­gan sur son mur : « Le meilleur moment pour planter un arbre, c’était il y a 25 ans… À défaut, autant le planter aujourd’hui. » Alors met­tez-vous dès aujourd’hui à l’autodiscipline. Voici qua­tre raisons. 1) Pour chaque marche à gravir, il y a un prix à pay­er. Sid­ney Howard a déclaré : « Savoir ce que vous voulez, c’est pour moitié savoir ce que vous devez aban­don­ner avant de l’obtenir. » 2) Être prêt à com­mencer par de petites choses. D’abord vos gains seront réduits, mais ils vont grandir. La dif­férence entre le médail­lé d’or et les autres con­cur­rents n’est sou­vent que de quelques cen­tièmes de sec­onde. 3) Savoir bien s’entourer. Puisque le pro­grès implique tou­jours un cer­tain degré de risque et d’échec, choi­sis­sez un envi­ron­nement où la crois­sance et l’ex­péri­men­ta­tion sont encour­agées. 4) Se croire capa­ble de tou­jours faire mieux. Quel que soit votre tal­ent, vous aurez tou­jours la pos­si­bil­ité d’être meilleur(e). Ain­si, avec l’aide de Dieu, vous pou­vez con­tin­uer à vous améliorer.