John Mason écrit : « Je n’étais pas en paix. Avant d’avoir tout résolu, j’é­tais anx­ieux, agité, nerveux et grognon…un peu comme un tox­i­co­mane en manque. Ce n’é­tait pas aus­si grave, mais les symp­tômes étaient là. J’é­tais chré­tien et sup­posé marcher par la foi. Je fai­sais con­fi­ance à Jésus pour le salut, mais pour le reste, c’est à moi que je fai­sais con­fi­ance. » Vivez-vous comme ça ? William Ward a écrit : « L’in­quié­tude est le négatif de la foi, l’abandon à la déplai­sance, l’as­sur­ance du désas­tre, et la croy­ance en la défaite. C’est un aimant qui attire les ennuis. La foi est une force plus grande qui crée des sit­u­a­tions pos­i­tives. L’in­quié­tude vous fait per­dre le temps présent et encom­bre les oppor­tu­nités futures avec les prob­lèmes du passé. » Un vieil homme, inter­rogé sur ce qui l’avait ren­du mal­heureux dans la vie, a répon­du : « Les ennuis qui ne sont jamais arrivés. » Vous sou­venez-vous des choses qui vous ont inquiété(e) il y a un an ? Ne vous ont-elles pas coûté un max­i­mum d’én­ergie ? Et la plu­part n’ont-elles pas bien fini ? Pas loin de 99% des choses dont on s’in­quiète n’ar­rivent jamais. Saviez-vous qu’un épais brouil­lard qui entoure sept immeubles sur plus de trente mètres est com­posé de moins d’un verre d’eau ? Un seul verre ! Mais il peut empêch­er toute vis­i­bil­ité. Un bol d’in­quié­tude peut faire le même effet. La Bible dit que « l’être humain n’est pas maître de son avenir ; il n’a pas les moyens d’ori­en­ter sa vie (Jér 10.23). Cessez de vouloir tout con­trôler. Votre vie ira mieux si vous décidez de vous appuy­er sur la Parole de Dieu et lui faire con­fi­ance pour pren­dre soin de vous.