"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

La Bible dit que plus l’of­fense est grave, plus grand est le besoin de par­don­ner à son agresseur. Si dans votre enfance vos par­ents vous ont si sou­vent demandé de fer­mer la porte, c’est pour éviter de laiss­er entr­er le froid en hiv­er et la chaleur en été. Le par­don ferme la porte sur votre passé ! Paul, celui qui per­sé­cu­tait les chré­tiens avant de le devenir lui-même, écrit : « Je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et ten­dant vers ce qui est en avant ». Il suf­fit de relâch­er son emprise sur le passé pour assur­er son emprise sur l’avenir. Oubli­er est une déci­sion à pren­dre par­fois au quo­ti­di­en, voire à chaque heure. En bref, vous devez par­don­ner dès que se présente le prob­lème qui vous fait mal (voir Mt 18.21–22). La guéri­son com­plète peut pren­dre des mois ou des années. Lorsque quelqu’un vous blesse pro­fondé­ment, vous devez vous efforcer de con­tin­uer à lui par­don­ner jusqu’à ce que vous soyez libéré de son influ­ence. Peu importe ce que vous avez per­du en étant vic­time d’abus, d’abandon, de trahi­son, de manip­u­la­tion ou de tromperie, l’amer­tume vous fera per­dre davan­tage ! Man­quer de par­don, c’est tailler le bâton pour vous faire bat­tre. Ça per­met à la per­son­ne qui vous a blessé(e) de con­tin­uer à le faire. Alors, tant que le prob­lème n’est pas résolu, vous feriez bien de prier à genoux chaque jour : « Seigneur, j’ai la ferme inten­tion de par­don­ner à la per­son­ne qui m’a fait du mal et je te demande de la bénir. Je te la con­fie et moi je pour­su­is ma route. » Pas de rac­cour­ci, c’est la seule voie vers la liberté !

"Pour moi c'est un régal de méditer chaque jour Parole du Jour. Je vis la Parole et je l'expérimente. Je veux vraiment vous féliciter pour votre travail qui porte du fruit." Joséphine Je fais un don