Dieu aver­tit son peu­ple des dan­gers de la graisse ani­male. Si vous aimez trop les ali­ments frits ou gras, lisez ces ver­sets : « L’Éter­nel par­la à Moïse et dit : par­le aux Israélites ; dis-leur : vous ne man­gerez pas de graisse de bœuf, de mou­ton ni de chèvre. La graisse d’une bête morte ou déchirée pour­ra servir à un usage quel­conque ; mais vous ne devez pas en manger » (v.22–24). Alors que les huiles végé­tales favorisent la san­té, la plu­part de nos ali­ments con­ti­en­nent des graiss­es sat­urées qui aug­mentent le cholestérol, risque majeur d’accident vas­cu­laire cérébral. Une étude a mon­tré que la qua­trième cause de can­cer chez les hommes, celui de la prostate, peut être liée à la con­som­ma­tion de graiss­es sat­urées. Dieu lui aus­si a don­né à son peu­ple des règles d’hygiène : « Lorsque celui qui a la gon­or­rhée sera puri­fié de son flux, […] il lav­era son corps dans l’eau courante et il sera pur » (Lé 15.13). Au XVI­I­Ie siè­cle, trois mères sur dix mouraient en couch­es, alors qu’elles sem­blaient en bonne san­té. Pourquoi ? Parce qu’à l’époque, les médecins pra­ti­quaient des autop­sies, puis sans se laver les mains, se rendaient à la mater­nité où ils exam­i­naient les femmes enceintes. L’affection micro­bi­enne était incon­nue jusqu’en 1845, lorsque Ignaz Sem­mel­weis, un médecin vien­nois surnom­mé « le sauveur des mères », a intro­duit le lavage des mains à l’eau courante avec une solu­tion de chaux chlorée, faisant chuter le taux de mor­tal­ité par fièvre infan­tile. Alors vivez selon les principes des Écri­t­ures et vous serez en bonne santé.