Thomas J. Wat­son, fon­da­teur d’IBM, a dit : « Exposez vos idées aux dan­gers de la con­tro­verse. Exprimez vos pen­sées et craignez moins d’être traité(e) de cinglé(e) que taxé(e) de con­formisme… Chaque fois que nous avons pro­gressé chez IBM, c’é­tait parce que quelqu’un était prêt à pren­dre sa chance, à met­tre sa tête sur le bil­lot et ten­ter quelque chose de neuf. » On a tous de bonnes idées qui ne mènent nulle part. Il est temps de réduire sa liste pour ne garder que les meilleures. Ce n’est pas facile, mais c’est néces­saire. Com­mencez par des idées évi­dentes qui ne peu­vent pas fonc­tion­ner en rai­son des bud­gets, du cal­en­dri­er ou du manque de ressources. Ensuite, rassem­blez celles qui peu­vent être bonnes mais qui ne résol­vent pas votre prob­lème par­ti­c­uli­er. Le tim­ing est pri­mor­dial. Cer­taines sont juste en avance sur leur temps. Alors gardez-les au chaud et ressortez-en quelques-unes l’an­née prochaine. Mais atten­tion : si vos con­seillers vous voient nég­liger leur avis judi­cieux, ils vont se dés­in­téress­er de vos pro­jets et vous vous retrou­vez seul. La Bible dit : « La foi sans les œuvres est morte » (Ja 2.26). Alors faites preuve de créa­tiv­ité, d’originalité et d’ac­tion ! Si vous restez dans la rou­tine, vous n’avancez pas. Le slo­gan d’Apple le dit bien : « Pensez dif­férem­ment ! » Ne vous prenez pas trop au sérieux ! Si une idée ne fonc­tionne pas, ce n’est pas grave. Rayez-la de votre liste et passez à la suiv­ante. À un moment don­né, vous saurez sans doute qu’elle vient de Dieu. Dans ce cas, ça change tout !