Soyez prêt(e) à payer le prix

Le suc­cès vient générale­ment à la fin du com­bat. S’il était trop facile, tout le monde en ferait l’ex­péri­ence. Pour réus­sir, il n’y a pas de rac­cour­ci, des prix réduits ou des offres spé­ciales. La valeur d’une chose est déter­minée par le prix que vous êtes prêt(e) à pay­er pour elle. Ce qui vous tient vrai­ment à cœur, vous n’allez pas le com­pro­met­tre car vous savez ce qu’il vous en a coûté pour l’obtenir. Que craignez-vous aujour­d’hui ? L’échec ? Méfiez-vous plutôt du con­traire : le regret de ne rien avoir ten­té. Avez-vous peur des cri­tiques ? Affron­tez-les. Votre ascen­sion fera tou­jours quelques jaloux, que vous fassiez ou non preuve d’ar­ro­gance. Tout le monde veut être aimé, mais il arrive un moment où vous devez vous deman­der : « Com­bi­en suis-je disposé(e) à per­dre pour être aimé et accep­té ? » Néhémie, le bâtis­seur des murs de Jérusalem a dit : « J’ai un grand ouvrage à exé­cuter et je ne puis descen­dre ». Chaque fois que vous préférez l’opin­ion des gens à la volon­té de Dieu, vous êtes en train de « descen­dre ». Restez en haut du mur ! Con­tin­uez à mon­ter les briques que Dieu vous a demandé de pos­er. Avance­ment rime sou­vent avec isole­ment et cri­tiques, et Dieu vous pré­pare peut-être en ce moment-même à recevoir de nou­velles béné­dic­tions en vous exposant aux deux. Pou­vez-vous le gér­er ? Tout le monde ne le peut pas. Mais si vous êtes du genre à ne pas vous con­tenter d’ob­serv­er la par­tie depuis les gradins, allez‑y ! Dieu récom­pensera chaque pas de foi que vous fer­ez et chaque sac­ri­fice que vous consentirez.