Les cri­tiques pointent vos erreurs et vous font douter. Les entraîneurs vous mon­trent ce que vous faites mal, vous appren­nent à bien faire et vous don­nent con­fi­ance. Les sup­port­ers vous gal­vanisent, vous sou­ti­en­nent et vous font croire au suc­cès si vous per­sévérez. Lequel des trois êtes-vous ? Si vous avez ten­dance à fon­cer, vous risquez d’avoir du mal à entraîn­er quelqu’un. Vous êtes peut-être de ceux qui pensent qu’un bon salaire suf­fit à encour­ager vos employés. Dans ce cas, méfiez-vous ! Vous êtes resté à l’âge de pierre et devez vrai­ment chang­er d’état d’esprit ! Si vous voulez des gens pro­duc­tifs, apprenez à les val­oris­er. Vous dites : « Mais je n’ai pas voca­tion à entraîn­er des gens qui n’obtiennent aucun résul­tat. Je veux juste qu’ils s’en ail­lent ». Halte-là, vous avez affaire à des êtres humains, aimés et val­orisés par Dieu ! Avec un peu d’encouragement, quelques coups de pouce, et beau­coup d’échanges, vous ver­rez sans doute la pro­duc­tiv­ité et la loy­auté aug­menter sen­si­ble­ment. Bien sûr, s’il y a un fruit véreux dans votre panier, vous devez le jeter avant qu’il ne les con­t­a­mine tous. Mais avant de vous défaire de quelqu’un, essayez de le boost­er ! Cer­tains par­mi vos col­lègues ont juste besoin qu’on leur mon­tre un pro­jet clair, le rôle qu’ils peu­vent y jouer, et les avan­tages et récom­pens­es à faire par­tie d’une équipe qui accom­plit une œuvre visionnaire.