Men­songe numéro deux : Dieu ne va pas t’u­tilis­er main­tenant. Julie Ann Barn­hill pour­suit : « Les femmes aspirent à des choses plus pro­fondes que leur sim­ple apparence. Pour­tant nous nous jugeons sou­vent à l’aune de stan­dards super­fi­ciels. Ne vous êtes-vous jamais détestée devant votre miroir en pen­sant à tort que vous ne pou­vez pas être utile à Dieu dans votre état ? Je suis la preuve vivante qu’il peut nous utilis­er et qu’il le fait en dépit de nos erreurs passées. David a dit : “Je con­fesserai mes trans­gres­sions à l’Éter­nel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché” (Ps 32.5). Le pire des péchés dans la Bible ne creusera jamais de fos­sé entre vous et l’amour de Christ, si vous le con­fessez et cherchez le par­don. Les vérités de Dieu peu­vent chas­s­er les men­songes de l’en­ne­mi. Accrochez-vous à cette promesse : “Le Seigneur restera ton guide ; même en plein désert […]. Alors tu relèveras les anci­ennes ruines, et tu rebâti­ras sur les fon­da­tions” (Esa 58.11–12, BFC). Men­songe numéro trois : Si les gens décou­vrent ce que tu as fait, ils ne vont jamais t’aimer, te com­pren­dre ou te par­don­ner. Vos pré­ten­dus amis peu­vent vous laiss­er tomber…Je l’ai moi-même vécu…Certains m’ont lâchée en apprenant mes ennuis. Et j’ai un jour aban­don­né un ami après avoir appris des détails gênants sur sa vie. Les amis vont et vien­nent, mais un véri­ta­ble ami vous reste attaché comme un frère (voir Pr 17.17). Je n’ai pas été fidèle à mes amis, mais Jésus l’est tou­jours. Il a plus d’une fois promis de ne jamais nous aban­don­ner. “Si nous sommes infidèles, lui demeure fidèle, car il ne peut se renier lui-même” (2Ti 2.13). »