"Je me suis rendu compte, en lisant Parole du Jour, que je commençais à voir les choses différemment." Hélène Je fais un don

Il y a dans chaque école des garçons et des filles au bas de l’échelle sociale de la com­mu­nauté. Cer­tains ont un physique ingrat, d’autres sont des can­cres, d’autres encore sont inca­pables de se faire des amis et de trou­ver une place dans le paysage sco­laire. Le même principe s’applique au bureau ou à l’église. La ques­tion clé est la suiv­ante : que devraient faire les pro­fesseurs en voy­ant l’un de ces enfants ridi­culisé et chahuté par ses cama­rades ? Cer­tains diraient : « Ce ne sont que des goss­es. Restons en dehors des con­flits et lais­sons-les gér­er leurs dif­férences eux-mêmes ». Mais la Bible dit : « Sup­port­ez les faibles ». Lorsqu’un maître prévenant vient pren­dre fait et cause pour l’élève le moins pop­u­laire de la classe, un change­ment d’atmosphère se fait sen­tir dans la salle. Il sem­ble que chaque enfant pousse un soupir de soulage­ment. La même pen­sée tourne dans toutes les petites têtes : « Si lui ou elle échappe au ridicule, alors je devrais y échap­per aus­si ». En défen­dant le plus mal-aimé de la classe, l’enseignant prou­ve qu’il respecte tout le monde et se bat­tra pour quiconque sera traité injuste­ment. Tout comme les adultes, les enfants sont friands de jus­tice. À l’inverse, ils sont mal à l’aise dans un monde d’injustice et d’abus. Ain­si, lorsque nous apprenons à nos enfants la bon­té et le respect en insis­tant sur la politesse dans nos class­es, nous jetons les bonnes fon­da­tions de leur vie d’adulte à venir. Alors, où que vous soyez aujourd’hui, faites cet effort : « con­solez ceux qui sont abat­tus, sup­port­ez les faibles, usez de patience envers tous ».

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don