Dans l’An­cien Tes­ta­ment il y avait plus de six cents règles religieuses. Per­son­ne ne pou­vait toutes les suiv­re. Au moin­dre faux pas, il fal­lait offrir un ani­mal en sac­ri­fice. Les gens essayaient, échouaient, se sen­taient coupables et redou­blaient d’ef­forts, se trompaient à nou­veau et offraient plus de sac­ri­fices. C’é­tait un cycle sans fin. Puis Jésus est venu et « a inau­guré pour nous comme un chemin nou­veau et vivant » pour avoir une rela­tion avec Dieu. Son chemin com­prend le par­don des péchés, et le rem­place­ment des sac­ri­fices par la foi en lui. Beau­coup pen­saient que c’é­tait juste trop beau pour être vrai, alors ils con­tin­u­aient à tout faire pour impres­sion­ner Dieu avec leurs bonnes œuvres. Et vous ? Un auteur chré­tien écrit : « J’ai vécu ain­si pen­dant des années. Tout devait être par­fait, sinon j’é­tais fâché avec Dieu. Cette quête impos­si­ble de per­fec­tion me pri­vait de paix et de joie. J’avais beau essay­er d’a­gir avec amour, j’é­tais loin d’être une per­son­ne aimable. Dif­fi­cile de don­ner aux autres ce que je n’avais pas reçu ! Comme Dieu ne m’avait pas accordé sa grâce pour mes erreurs, je ne pou­vais la trans­met­tre à per­son­ne. Je cher­chais à suiv­re toutes les règles dont beau­coup n’é­taient même pas bibliques. Mais Dieu mer­ci, je n’ai plus à vivre ain­si. Aujour­d’hui je n’agis pas pour être sauvé mais parce que je suis sauvé ! Mon salut ne vient pas de ce que je fais, mais seule­ment de ce que Jésus a fait pour moi. » Si vous prenez con­science de cette vérité, votre rela­tion avec Dieu cessera d’être une corvée pour devenir source de joie.