"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe Je fais un don
La compassion de Jésus pour un monde en souffrance avait deux faces : compassion à l’égard de ceux qui étaient sans défense et condamnation de ceux qui profitaient des autres. Ainsi, Jésus a tout à la fois guéri les malades et chassé les marchands hors du temple. Il y a là une leçon à retenir. Vous pouvez devenir indifférent au monde et dire : « Je sais qu’il y a de la souffrance partout. C’est bien regrettable. Mais tant que ça ne me touche pas personnellement, je préfère ne pas y penser. La corruption est une réalité, en politique comme ailleurs. C’est comme ça ». Comme le prêtre et le lévite dans la parabole du bon Samaritain, vous pouvez « passer outre » (Luc 10.30–32). Bien des Églises qui prêchent la Parole de Dieu et qui grandissent échouent à ce niveau. Pourquoi ? Parce qu’elles craignent d’être confondues avec ceux qui défendent un « évangile social ». Mais l’inverse devrait nous interpeller aussi ! « Si quelqu’un, ayant largement de quoi vivre, voit son frère dans le besoin mais lui ferme son cœur, comment peut-il prétendre qu’il aime Dieu ? […] N’aimons pas seulement en paroles, avec de beaux discours ; faisons preuve d’un véritable amour qui se manifeste par des actes » (1Jn 3.17–18, BFC). Qu’est-ce qui vous préoccupe ? Votre réussite professionnelle ? Fonder une famille ? Exceller dans ce que vous faites ? Ce sont des préoccupations légitimes, mais si vous voulez savoir ce qui préoccupait Jésus, relisez ce verset : « À la vue des foules, il en eut compassion » (Mt 9.36). Alors, ne fermez pas votre cœur.
"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don