"Je remercie l’équipe de Parole du Jour. La nourriture que je reçois à travers la brochure m'a permis de me relever." Bernadette Je fais un don

La vengeance est l’affaire de Dieu, pas la vôtre. Tôt ou tard il va la réclamer, dans cette vie ou au jour du Juge­ment. Il peut met­tre au pas votre patron abusif, adoucir vos par­ents colériques, ramen­er votre ex à la rai­son. Le par­don ne réduit pas la jus­tice, il la con­fie à Dieu. Il garan­tit la bonne dose de rétri­bu­tion. Nous don­nons trop ou pas assez, mais lui a l’exacte pre­scrip­tion. Et au con­traire de nous, il n’abandonne jamais per­son­ne. Voilà qui devrait vous réjouir. Bien après notre déser­tion, Dieu est encore là, son­dant les con­sciences, sus­ci­tant la con­vic­tion ou la rédemp­tion. Con­tenir vos enne­mis ? C’est l’affaire de Dieu. Leur par­don­ner ? Ah, c’est là que vous inter­venez. Paul écrit : « Ne ren­dez à per­son­ne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est pos­si­ble, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez pas vous-mêmes, […] car il est écrit : A moi la vengeance, c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. Mais si ton enne­mi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en agis­sant ain­si, ce sont des char­bons ardents que tu amasseras sur sa tête. Ne sois pas vain­cu par le mal, mais vain­queur du mal par le bien » (v.17–21). Max Luca­do dit : « La vengeance bâtit une petite mai­son isolée. Il n’y a de place que pour une seule per­son­ne. Celle-ci n’a qu’un seul but : ren­dre quelqu’un mal­heureux. Et ça marche, elle l’est. Pas éton­nant que Dieu insiste pour qu’on veille “à ce qu’au­cune racine d’amer­tume ne pro­duise des reje­tons” (Hé 12.15). »

"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don