"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

La réal­ité se situe entre ce qu’on espère et ce qui existe. Les gens d’un naturel opti­miste peu­vent avoir du mal à être réal­istes. Ils pour­raient même penser que c’est le con­traire de la foi. Faux, la foi ne dénie pas le prob­lème, elle met en com­mu­ni­ca­tion avec Dieu qui peut alors vain­cre par sa puis­sance. Voici deux effets posi­tifs de la pen­sée réal­iste. 1) Elle réduit les risques inutiles. Tout acte a des con­séquences. Le réal­isme per­me­t­tra de bien les éval­uer. C’est impor­tant quand ils affectent les autres. Le vieil adage dit : « Espère le meilleur mais pré­pare-toi au pire ». En pen­sant de cette façon, on min­imise les risques inutiles. On a un objec­tif, avec un plan pour l’atteindre. Certes il faut espér­er pour réus­sir, mais l’espoir seul ne suf­fit pas. 2) Elle mon­tre les change­ments néces­saires. Les gens qui ne mis­ent que sur l’espoir font rarement du change­ment leur pri­or­ité. Ils sous-enten­dent que le suc­cès n’est pas entre leurs mains. C’est une ques­tion de chance, alors pourquoi se don­ner la peine de chang­er. Rien ne vaut le réal­isme pour aider à voir ce qui doit être mod­i­fié. Le change­ment seul n’apporte pas de crois­sance, mais il n’y a pas de crois­sance sans change­ment. Rien de mieux que de suiv­re le Christ pour être béni, mais il y a un prix à pay­er. Jésus en par­lait avec réal­isme : « Quiconque ne porte pas sa croix et ne me suit pas, ne peut être mon dis­ci­ple. Car, lequel d’en­tre vous, s’il veut bâtir une tour, ne s’assied pas d’abord pour cal­culer la dépense et voir s’il a de quoi la ter­min­er ? » (v.27–28).

"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle Je fais un don