Un enfant bien-élevé, c’est reposant. Un enfant mal-élevé, c’est fatigant. Vous ne pouvez l’emmener nulle part ni le confier à d’autres. Salomon a dit : « Celui qui [aime son fils] cherche à le corriger » (Pr 13.24) Maltraiter un enfant est répréhensible, mais négliger son éducation l’est tout autant. Sans discipline, vous lui préparez une vie de chagrin. Plus tard, face à une amende pour excès de vitesse ou un rappel de sa banque pour un découvert, piquer une colère ne lui suffira pas pour se tirer d’affaire. De grâce, pensez à son avenir. Dieu punit ses enfants. Seriez-vous plus sage que lui ? La Bible dit : « Toute correction, il est vrai, paraît être au premier abord un sujet de tristesse et non de joie ; mais plus tard elle procure un paisible fruit de justice à ceux qu’elle a formés » (Hé 12.11). Le caprice d’un enfant de deux ans, c’est mignon, mais à dix-sept ans, c’est plus violent et moins drôle ! La Bible affirme : « La stupidité est attachée au cœur de l’enfant ; le bâton de la correction l’éloignera de lui » (Pr 22.15). La rébellion est inscrite dans ses gènes, et c’est à vous de l’en extraire. Oui, c’est difficile d’user de discipline alors que le temps passé avec lui est si court. Mais son avenir est entre vos mains. Un enfant sans limites est comme une maison sans murs. C’est comme vivre sous un auvent, il n’est pas protégé des influences extérieures. Personne ne s’y sent en sécurité. Alors, adressez- vous à Dieu aujourd’hui. Il a lui-même des enfants et il veut vous aider à bien élever les vôtres.