1) Où en est votre rela­tion avec Dieu à cet instant ? Doutez-vous de ses promess­es, de votre appel, de votre capac­ité à l’écouter, à lui faire plaisir, à en faire assez pour qu’il soit sat­is­fait ? Dans ce cas, cette Parole de la Bible est tail­lée sur mesure pour vous : « Que le Dieu de l’espérance vous rem­plisse de toute joie et de toute paix dans la foi. » Remar­quez que si vous cessez de faire con­fi­ance à Dieu pour ne compter que sur vos pro­pres efforts, vous perdez la joie et la paix. Les avez-vous per­dues aujourd’hui ? Pour les retrou­ver, il vous faut cess­er de douter et repren­dre de l’assurance. 2) Où en êtes-vous aujourd’hui avec vous-même ? Un auteur chré­tien écrit : « Pen­dant des années, la seule rela­tion que j’ai eue avec moi-même était placée sous le signe du doute. Je doutais de mes déci­sions, de mon apparence, de mes paroles ou de mes actes. Je ne savais pas si j’étais agréable à Dieu ou aux autres. Je n’étais pas sat­is­fait de moi-même, alors com­ment Dieu ou les autres l’auraient-ils pu ? Ces années de détresse sont der­rière moi car je sais que la grâce de Dieu me pro­tège. Je sais que je suis jus­ti­fié à tra­vers Jésus seul et accep­té par Dieu. Quelle joie ! J’étais telle­ment lié par le légal­isme religieux que je dois tou­jours m’en méfi­er aujourd’hui. Mais main­tenant j’en recon­nais les symp­tômes ». Paul écrit : « Demeurez donc fer­mes, et ne vous remet­tez pas de nou­veau sous le joug de l’esclavage » (Ga 5.1). Cessez de douter de votre salut, de vous-même, ou de Dieu !